" Sans dent ", Charme discret de la terreur bourgeoise et avortement




Si vous étranglez un enfant pour qu'il ne meurt pas brulé vif  : vous êtes un criminel ?

Si vous tuez un enfant en formation pour qu'il ne soit pas l'objet de la torture physique et mentale des violences et du viol  - autrement dit si vous avortez à cause de la violence du père ou des autres adultes risquant d'avoir du pouvoir sur l'enfant : vous êtes une salope qui a ouvert les cuisses et qu'il faut punir car la loi doit vous " apprendre à respecter la vie "... ou vous êtes juste folle de peur ? ...

" Folle" ou réaliste ?

Enfants maltraités :  on flingue les pauvres, on exhibe les pauvres maltraitants leurs enfants, mais le pouvoir des " bourgeois " sur leurs femmes et "leurs" enfants est bien plus grand, la maltraitance et les abus ont lieu dans tous les milieux, mais ils sont bien plus faciles pour ceux qui ont le pouvoir de l'argent et des relations pour dissimuler leurs violences, d'autant plus qu'ils ont des lois pour les aider à maintenir les mères sous leur coupe .. des lois faites par les "bourgeois" de gauche entre autres !

Que fait la gauche pour protéger les femmes et les enfants des violences : une loi sur la garde alternée dont les pédopsychiâtres non achetés par les incestueurs expliquent qu'elle est dangereuse pour les petits enfants : merci Ségolène Royal !  Mais on s'en fiche Ségolène des effets d'une loi quand on peut afficher qu'elle est pour l' "égalité " ...

Les incestueurs ont ruiné des pédopsychiatres renommés mais peu protégés qui défendaient les enfants ...

Les " bourgeois " de gauche méprisent les pauvres et les faibles ... qu'ils traitent les pauvres de "sans dent" comme l'affirme Valérie Trierveiller de son ex petit ami, ou qu'ils se plaignent de leur villégiature dans une ville (Ault) à " majorité de retraités ou de RMistes " comme la sénatrice verte Esther Benbassa ( http://www.courrier-picard.fr/region/ault-80-la-senatrice-juge-la-ville-insalubre-et-en-ia174b0n429142 )

La réaction de  Marie-George Buffet
Les "sans dents", cette expression me fait me souvenir de ma mère passant le porche du garage fermé car en faillite, on lui avait enlevé ses dents suite à une infection généralisée faute de soins!
Cette image, fillette jouant dans cet espace, me revient, sa colère tournée, l'espace d'un instant contre nous, ses sept enfants, je l'ai pris en pleine figure, alors, je ne sais pas si cette expression venue de loin dans notre histoire, pour caractériser les pauvres a été prononcée ou pas par le Président de la République.
Mais ce qui me choque, me rend malade, c'est qu'aucun journaliste n'évoque, les hommes et les femmes qui aujourd’hui vivent une précarité qui ne leur permette pas d'avoir accès aux soins dentaires.
Les féministes ont fait bien plus pour éviter aux femmes des avortements,en luttant pour la sécurité des enfants et de leurs mères, que toutes les églises réunies, mais ce sera l'objet d'un autre article ...
Et les féministes ont fait bien plus pour "aimer les hommes" en tentant de les empêcher de commettre des violences de toutes sortes plus ou moins visibles, pour faire que ces violences soient révélées, pour que l'on nomme violence ce qui est violence, que toutes celles qui se complaisent dans la complaisance, sinon la vile flatterie, et la culture de l'excuse  envers les "abus", euphémisme pour terrorisme et torture... 


Céline, enfant battue de la bourgeoisie

Vendredi 25 Janvier 2013 

«Dressée» par son père qui voulait en faire une pianiste prodige, elle est devenue médecin et s'investit, à 28 ans, contre la maltraitance infantile. Elle témoigne dans un livre bouleversant en souvenir du temps où ce monsieur trop bien habillé pour qu'on le soupçonne faisait pleuvoir les coups.





Marina, petite fille morte



Voilà pourquoi les femmes avortent :

"  J'ai avorté quand j'avais 22 ans, je n'avais pas confiance en ma mère, elle avait vécu de la violence conjugale, moi-même j'avais vécu de la violence de la part de mon père .... Moi j'avais vécu tellement de difficultés familiales avant, que l'idée d'élever un enfant seule, cette relation avec ce garçon n'était pas saine du tout, il y avait de la violence aussi, je me disais : ce n'est pas possible, je ne vais pas recommencer, reproduire ce qui c'est passé dans mon enfance, je ne vais pas remettre au monde un enfant qui va vivre les horreurs que j'ai vécues, c'est pas possible, c'est juste pas possible, voilà, à un moment donné c'était une évidence que j'allais mettre au monde cet enfant et puis à un moment donné, je me suis je n'y arriverai pas, je ne veux pas, je n'y arriverai pas "





Les femmes piégées dans des situations impossibles, qui tentent d'éviter l'horreur à des enfants, et se font "charcuter",  sont tellement excitante messieurs qu'il vous prend des envies de les sadiser un peu plus ?
A tous ceux qui demandent que l'on "punisse" les femmes pour avoir avorté, je dis : " si l'envie vous démange de punir des "salopes" , inscrivez vous à des clubs sm, c'est fait pour ".

L'avortement ne doit pas être pénalisé pour les femmes, point.

Pour signifier la valeur de la vie humaine, y compris depuis son commencement, c'est à dire depuis la conception, le début de la grossesse, le début du moment où l'enfant PEUT SOUFFRIR DES SOUFFRANCES DE SA MERE ENCEINTE, il y a d'autres moyens que de pénaliser les femmes et par là, de traiter les corps de femmes en couveuses donc de déshumaniser la grossesse, commencement de toute vie humaine.
Si une femme est angoissée, maltraitée durant sa grossesse, si la grossesse lui a été imposée, l'enfant en souffre, pas demain, pas plus tard : dès la grossesse, et il pourra en être marqué après sa naissance.

Un bébé refuse d'être séparé de sa mère dès sa naissance

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