Education sexuelle : la dérive machiste du féminisme



Les réactions de nombres de féministes aux critiques des livres et cours d'éducation sexuelle consiste à s'aligner sur le discours victimaires des pornographes : ces critiques seraient obscurantistes, attentatoire à la liberté sexuelle.
Les idées d'Andréa Dworkin sur la contrainte à l'utilisation sexuelle sont oubliées.
Autrement dit, les féministes se mettent à défendre la vision machiste sinon même pédophile, la vision de la sexualité comme besoin primordial.

Je dis non : le droit de s'envoyer en l'air n'est pas le droit humain suprême et la priorité absolue.
Le droit humain suprême est l'intégrité physique et celle des enfants avant tout.
L'éducation sexuelle imposée, la lecture imposée de livres montrant des actes sexuels, sont des attentats à la pudeur, des agressions sexuelles, des viols.




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