Islam et nazisme : comparabilité



Islam et nazisme : comparabilité

On m’a reproché, par rapport à ce texte : " http://ripostelaique.com/les-nouveaux-collaborateurs-incitent-les-juges-a-punir-les-resistants-et-les-denoncent-aux-islamistes.html" , de faire de la "réduction à Hitler" parce que je compare l’islam au nazisme, le Coran à Mein Kampf, les délateurs de critiques de l’islam aux délateurs collabos de la IIeme guerre mondiale.

Pour répondre, j’ai réuni sous dessous ces liens vers des articles montrant une petite partie des documents disponibles sur les points de comparaison de l’islam et du nazisme.

Je tiens à dire ceci :
Ce reproche est une très grave diffamation pour moi, car ce n’est rien d’autre qu’une accusation odieuse de négationisme : c’est insinuer que je me rapprocherais des petits crétins qui criaient « CRS = SS », et de tous ceux qui en comparant le IIIeme Reich et la Shoah à des phénomènes actuels qui n’ont rien de comparable, pratiquent une négation de la réalité que fut la solution finale contre les  juifs.

Non seulement c’est une diffamation, mais c’est une agression morale, émotionnelle, délibérée contre moi qui suis fille d’enfants cachés et petite fillle de résistants juifs.
Il y a peut –être des gens, comme ce ministre qui a récemment en pleine assemblée, au milieu d’un débat sur les retraites, traité une députée de « collabo », des gens qui peuvent prononcer ou entendre  ce mot sans ressentir d’émotion : ce n’est pas mon cas, ce mot, comme tous les mots et les souvenirs de la guerre, est très difficilement supportable pour moi ...

J’interdis à quiconque de prononcer cette diffamation contre moi. J’interdis à quiconque cette attaque odieuse contre moi.

La comparaison que je fais, je la fais parce que aujourdh’ui tous les éléments se mettent en place pour un nouveau génocide des juifs au nom de l’islam, je dis bien de l’islam de Mahomet, pas de l’ « islamisme » :  car les mêmes causes produisent les mêmes effets, et les textes idéologiques diabolisant les Juifs ( pas le judaïsme, je dis bien :  les Juifs) de Mahomet et ses successeurs, prennent de plus en plus de place dans les esprits de musulmans, et l’on voit des stades entiers appeler à la mise à mort des juifs, et dans les écoles d’ici, si nos journalistes s’y rendaient , ils entendraient le souhait d’un nouveau génocide … Mêmes causes mêmes effets !


J’accuse ceux qui attaquent  les critiques de l’islam, par les mensonges diffamatoires, le judiciaire et la délation, d’empêcher la prise de conscience de l’enseignement du mépris et de la violence antijuive – et anti-chrétienne, et anti-« associateurs- des textes fondamentaux de l’islam, et par là , de collaborer à la mise en marche de ce génocide. 

Toulouse n’est pas un hasard. Pour l’instant il n’y a pas de pogroms dans les pays musulmans nous fait on observer :  évidemment puisqu’ils sont des « judenrein »  depuis les années 1950 ! Pour l’instant c’est un ethnocide anti-chrétien qui a lieu dans les pays musulmans, une solution finale anti-chrétienne, contre laquelle nous ne nous mobilisons pas assez ! Beslan n’est pas un hasard. Mais contre les communautés juives d’Europe les attaques se multiplient et se multiplieront, et si Israel a le malheur de faiblir, c’est par milliers que des juifs seront déchiquetés à mains nues comme les soldats israeliens le furent à Ramallah. L’idéologie islamique de la haine pousse des êtres humains à cela.
Voici les liens :
  


Elisseievna

Avril 2012

 ICI : Pierre Cassen dénonce la "banalisation" : 




Le lynchage de ramallah par alex-h 
 http://www.dailymotion.com/video/x1x0lm_le-lynchage-de-ramallah_news



Lynchage à Ramallah

Le lynchage de ramallah par alex-h http://www.dailymotion.com/video/x1x0lm_le-lynchage-de-ramallah_news




Pour montrer la mentalité de ceux qui n'apprécient pas ma comparaison, entre les délateurs actuels et la collaoboration,  je citerai un courrier reçu d'un lecteur de mon texte, qui montre clairement ce qui gène certains de ceux qui m'accusent de "réduction  a Hitler", quand des juifs, (quand je), se plaignent de la délation actuelle  ....

" Je me demandais où l'auteur voulait en venir : et voilà... on lit : "Voici ce que j’ai écris moi sur la notion de complot, pour montrer la différence entre l’islam, dont les textes prônent explicitement et publiquement la conquête du monde selon les ordres de dieu, non pas par perversion, mais pour le soumettre à la loi d’allah », et le judaisme, à qui nul n’a pu attribuer de projet d’hégémonie qu’en inventant des faux grossiers."

Que vient faire ici l'éloge du judaïsme ? ça tombe vraiment comme un cheveu sur la soupe. Sauf quand on fait le lien : dans l'imaginaire politique imposé par la lecture gauchisante et par les associations communautaristes juives (ADL, LICRA, etc), le nazisme c''était mal parce que ça a fait du mal aux juifs (mais les dizaines de millions de morts de la 2e guerre mondiale peu importe dans leur agenda, il n'y a que des victimes élues dans cette vision ; les 70 millions de victimes non-juives des bolsheviks qui étaient des juifs, pas question de les "mémorialiser"), et dans cette "logique" une chose ne doit être considérée comme problématique que parce qu'elle peut être nocive à la communauté juive ce qui justifie de la déclarer "nazie". Or je vous rappelle qu'à date les victimes des massacres islamiques sont quantitativement très peu juives. 

La reductio ad hitlerum fonctionne à plein dans cet article.  le discours mythifié remplace la description historique et politique. Or l'analyse ne se fait pas à coups de mythes. un jour vous verrez qu'un imbécile nous déclarera que les Romains étaient nazis parce qu'ils ont rasé le temple en 70.

Les problèmes posés par l'islam (et plus largement par l'immigration de masse) à nos sociétés doivent se décrire et s'analyser spécifiquement, et non par associations d'idées au gré des agendas idéologiques des uns ou des autres.

Encore un mot, si vous le voulez bien :
J'attire votre attention sur la fausseté de ce rappel à l'idéologie victimaire que fait cet auteur. Le sionisme a été depuis la fin du XIXe siècle un projet de prise de possession d'une terre et la négation de l'existence du peuple natif de cette terre. Il a des répercussions géopolitiques catastrophiques et d'ordre impéralistes militaires (vous n'ignorez pas comment par exemple a été déclenchée en 1991 la suite des invasions de l'Iraq). Si vous connaissez un peu le Talmud, vous n'ignorez pas le lien direct entre ce dernier (et les textes protocanoniques du Dieu de colère, de meurtre et de vengeance) et le mouvement sioniste. Si vous connaissez le Talmud, vous savez ce qu'il y est dit des "goim", et comment il est préconisé de les traiter.
Que donne le judaisme à date en matière politique ? demandez aux Palestiniens, ce "peuple qui n'existe pas" comme le dit l'Etat d'Israel (peuple sur le dos duquel d'ailleurs les petits gauchos de salon autant que les cailleras de banlieue ont bâti leur agit prop personnelle --comme quoi rien n'est simple) : un projet d'extension d'espace vital, d'extermination du peuple en place explicitement énoncé, organisé et exécuté. Même le projet hitlérien n'allait pas là (cf Raul Hilberg).

Je vous invite à regarder cette video, qui collecte des citations dont vous pourrez vérifier les sources :
http://www.dailymotion.com/video/xqa8ub_qu-est-ce-que-le-sionisme-voici-la-reponse_news?start=179#from=embediframe

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Islam = nazisme : antisémitisme de Mahomet et réplique d'un tunisien


·       Chroniques

Appel à tous les Musulmans d'en finir avec l'islamisme et de cesser leur animosité anti-juive

Proposé par : Ben Ammar Salem

Les médias français de tout bord ont atteint un niveau d'indécence pathétique, pire que le jour funeste des attentats du 11 septembre 2011 en couvrant les tueries de Toulouse-Montauban du Grand Effroi islamique de Toulouse, comme si elles étaient un scénario hitchkokien ayant pour personnage central le djihadiste islamiste Mohamed Merah, qu'on se plaït à présenter comme un loup solitaire.
Alors que tout indique qu'il est pur produit de la culture doctrinaire de la haine de l'autre et du juif que les caïds- salafistes prêchent en toute impunité dans les ghettos hexagonaux islamisés.
Ils se sont mués pour l'occasion en avocats de la défense en se livrant  obséquieusement à un examen de sa  personnalité cherchant à atténuer sa responsabilité dans le cas d'espèce. Leur rôle est d'informer et de susciter le débat de fond sur les vraies causes de la pathologie terroriste propre dont souffre les ghettos urbains. Pourquoi est-elle généralement inhérente à certains jeunes  issus de l'immigration  bde confession musulmane ?  Y a- t-il  une relation de cause à effet  entre la démission des pouvoirs publics et la pandémie fondamentaliste musulmane tendance wahhabite ?  De même qu'ils auraient pu se poser la question cruciiale quant aux mécanismes  psychosociaux, idéologiques et religieux qui motivent l'action du jeune radicalisé au point qu'il se transforme en une véritable bombe humaine  ? Pourquoi, ce ne sont pas d'autres jeunes issus ou non de l'immigration marginalisés et relégués et qui ne sont pas en guerre contre l'ordre républicain en l'absence affective de cet ordre dans leurs cités ?   Des questions esquivées et occultées, de peur aussi de susciter l'hostilité épidermique de la communauté musulmane et du pouvoir politique lui-même à la veille d'une échéance électorale cruciale pour lui et qu'il se doit de ménager la susceptiblité de l'électorat musulman.
Quand on veut travestir la vérité, on allume des contre-feux en l'occurrence, abreuver l'opinion publique de l'histoire de vie de Mohamed Merah : son enfance, son parcours délinquant, sa découverte de l'islam fondamentaliste en prison,  ses périples en terres inhospitalières, ses goûts et ses hobbies. On lui prête même un séjour en Israël. Comme si Israël avait apporté une touche à la constitution de sa personnalité d'exterminator.  Cet agent de la barbarie islamiste est avant tout de confession musulmane. Pourquoi plus de 90% des attentats terroristes  depuis une vigntaine d'années qui ont  endeuillé l'humanité ainsi que  tous les appels aux meurtres des juifs et des laïcs sont accolés à la religion musulmane ?  Nul ne peut nier  que le monde musulman est gangrené par la fièvre terroriste, xénophobe et antijuive. Pourquoi les musulmans qu'on entend à chaque tragédie alléguer que l'islam est une religion de paix et de tolérance alors que les crimes perpétrés par les radicaux musulmans fournissent à chaque fois les preuves du contraire ?
Autant de questions que l'on est en droit de se poser mais qui resteront encore une fois sans réponses. Comme celle de cette bienveillance dont jouissent les prédicateurs-caïds  financés par les monarchies wahhabites, relayées par les chaînes satellitaires qui font pousser en toute liberté sur les terreaux urbains les champignons vénéneux du messianisme islamique, de l'islam cosmique et conquérant, de l'abomination coranique du juif et des incroyants.
Quand bien même, il n'y a pas de corrélation apparente et mécanique entre l'islam et l'islamisme qui rime avec terrorisme, il n'en demeure pas moins que l'absence de condamnation explicite et ferme par la majorité musulmane et sa réprobation véhémente des crimes barbares commis au nom de l'islam ne peut que jeter le trouble dans l'esprit  de l'opinion publique internationale.
Le fait même que les musulmans de France ne se sont  pas mobilisés comme un seul homme pour manifester publiquement leur dégôut face à la boucherie deToulouse-Montauban et qu'il n'y a pas eu un appel général  à prier pour le repos des âmes des victimes juives et musulmanes ne doit pas  manquer de nous intriguer et nous interpeller à juste titre. Le défaut de condamnation ne signifie pas non plus approbation mais il est édifaint sur le manque de compassion qui semble caractériser la communauuté musulmane. C'est comme si compatir est reconnître sa culpablité ou sa complicité dans un crime qu'on a pas commis.                                                     Personne ne les accuse d'instrumentalisation ni les tient pour responsables  de ces crimes odieux, il s'agit surtout  d'affirmer leur adhésion aux valeurs humanistes, le respect de la vie humaine, du droit à la différence et de désavouer et renoncer à  la stigmatisation et l'aversion du juif.
Ce qu'on attend d'eux est de marquer une rupture nette et sans ambiguïté avec les actes de barbarie qui sont les faits de leurs coreligionnaires radicaux. L'autre que les islamistes vouent aux bûchers de l'enfer est aussi soi-même. Les musulmans eux-mêmes ne sont pas épargnés par cette violence aveugle que les islamistes tirent comme un boulet de canon sur tout ce qui n'est pas dans leur moule idéologique. Ils se doivent  de comprendre comme nous tous que  les victimes de la terreur islamique qui vient de déferler sur Toulouse-Montaubanauraient pu être nos enfants, nos frères, nos amis, nos cousins, nos voisins, elles sont plus que ça, elles sont des nôtres à tout jamais. C'est à leur honneur de  partager l'immense  douleur de leurs familles. Aujourd'hui l'islam est la seule religion au monde dont le nom est renvoie instantanèmement  au terrorisme.  Trop de religion tueles hommes et la religion elle-même. La victime de la barbarie islamiste est aussi l'islam lui-même. Quand les musulmans vont-ils enfin se lever comme un seul homme et parler d'une même voix et extraire le vérue islamiste de qui prospère en leur sein.                                                                                                                                                                                            
Ils doivent de cesser d'exploiter la question palestinienne pour justifier l'injustifiable et de faire des juifs le bouc-émissaire des dérives terroristes qui collent à la peau de l'islam.
La grandeur d'âme des croyants est d'assumer pleinement leurs responsabilités et de purifier leur corps de la nécrose islamiste. Certes, ils ne sont ni responsables et encore moins coupables des carnages perpétrés par une minorité activiste, appeléedjihadiste, mais tant qu'ils continuent à se défausser sur les autres et esquiver la réalité des faits, ils se mettent eux-mêmes en mauvaise posture et ne manquent pas de susciter trouble et confusion dans l'opinion publique internationale .                                          
A force de jouer sur le registre de la victimisation, ils finissent par fournir un alibi à leurs propres bourreaux au point de les innocenter en leur donnant blanc-seing pour des nouveaux actes de barbarie. Ben Laden passe pour une victime et un héros aux yeux de certains musulmans. Mohamed Merah est en train de le devenir au vu de la spéculation nauséabonde de la manipulation politique. Ou cette enseignante d'un lycée de Rouen qui a demandé à ses élèves d'observer une minute de silence en hommage à la mémoire de l'héritier de Ben Laden . Comme si les morts  dont il était responsable n'étaient pas des victimes, un petit détail dans le parcours terrifiant de cet agent du djihadisme islmaiste.                                                                                                                                                                                                                                                                  
Enfin, il est inadmissible que certains exploitent obséquieusement la question palestinienne qui n'est pas leur affaire et encore moins leur cause. Ils ne sont ni justiciers ni vengeurs. La violence déssert la noblesse des causes et les dévoient, de surcroït quand on est étranger à cette cause, on ne fait qu'attiser le feu au lieu de le circonscire. Il revient aux peuples palestiniens et israëliens d'y apporter la bonne réponse et non aux soi-disants arabo-musulmans. Les peuples juifs et palestiniens sont deux peuples bibliques contrairement aux arabes. Une religion et une langue ne font pas un peuple. En ce qui concerne le peuple palestinien, il n'est pas que musulman. La vraie question de fond que les bonnes âmes arabo-musulmanses devraient se poser : si nous n'avions pas instrumentaliser un conflit qui n'est pas le nôtre est-ce que ce conflit n'aurait pas fini par trouver une issue favorable sans effusion de de sang ?                                                                                                                                            
N'est-il pas temps d'arrêter de jeter votre fiel sur le juif et de tourner la page de cettemalédiction coranique qui le frappe depuis 1432 ans à cause de son refus de donner une caution biblique au Prophète Mohamed ? D'autres temps d'autres moeurs. Les musulmans du 7 ème siècle ne sont aps ceux du 21 ème siècle.

Islam = nazisme : le point de vue d'un tunisien



La Charia est au droit ce que la barbarie est à la civilisation
Ben Ammar Salem     

Docteur en sciences politiques




La Charia n’est pas le chemin de la félicité comme elle devrait l’être, elle est devenue depuis le 9ème siècle le chemin qui mène à la barbarie juridique.
Celle qui légitime la violence, le racisme, l’exclusion, la misogynie, la relégation, l’arbitraire, l’iniquité, la pédophilie, la nécrophilie, la zoophilie, la haine du juif, la censure morale, le meurtre, l’inquisition. Une loi prétendument canonique mais qui est autant de boulets de canons que ses partisans tirent au nom du sacré sur l’humanité. Assimilée à une mise au pilori des justiciables et un véritable permis de tuer et de violer, laissant apparaître les lois raciales de Nuremberg comme des lois humaines. La charia n’est pas la loi de la jungle, elle est la loi qui ouvre la voie aux camps de la mort et de l’extermination de l’humanité qui n’ a pas le caractère musulman. C’est pourquoi toute référence à la charia dans un ordre juridique n’est rien d’autre que la mise à mort dudit ordre juridique. Elle est un ver venimeux dans le droit humain. Immorale, liberticide, génocidaire et avilissante pour l’homme, capable d’irradier tels les nuages de Tchernobyl les démocraties les plus solides. Elle est mortelle pour la république et les systèmes juridiques les plus aboutis. S’en prémunir et s’en immuniser est une obligation qui s’impose à notre humanité. Aussi, il n’y a pas pire crime que d’octroyer un statut de parti politique à des mouvements sectaires islamistes qui prônent la Charia ? Sais-t-on que toute mansuétude bienveillante à l’ égard des mouvements fascistes, belliciste et antirépublicains équivaut à la reconnaitre implicitement et contribuer progressivement à l’ instauration de la loi canonique de la charia mortifère pour les libertés humaines les plus élémentaires tels que le choix de ses habits ou la liberté de circuler au volant de sa voiture punie de dix coups de fouet chez les wahhabites et ordonnateur et grand argentier de l’ islamisme polymorphe qu’ il soit djihadiste, salafiste, wahhabite ou qoutbiste ? Comment nos sociétés démocratiques peuvent-elles se résoudre au nom des libertés de culte et de conscience à donner un droit de cité à des mouvements ancrés dans leur identité religieuse dont le seul objectif est de substituer à nos lois humaines et justes une loi divine liberticide et attentatoire aux droits fondamentaux de l’ homme et du citoyen. Comme si on oublie ou feint d’oublier que la charia est un instrument d’aliénation juridique de la femme et des minorités sexuelles, ethniques et religieuses. C’est la consécration du pouvoir sans limite de l’homme sur la femme sous couvert de la religion ce qui interdit à nos lois d’y interférer au nom de l’ordre républicain du fait même du statut juridique conféré par nos lois à la dite religion. Avec elle, du monde de la lumière vous plongerez dans le monde des ténèbres.

De l’ordre juridique de droit positif on passe au désordre juridique et au règne de l’arbitraire et de l’autoritarisme et la légalisation de la violence et des traitements inhumains. Admettre l’usage de la charia dans nos cités, c’est lui reconnaitre un statut de plein droit en sa qualité d’ennemie viscérale de la femme en lui accordant de la sorte un droit de véto sur nos lois puis qu’elle se considère au dessus des lois de la République, c’est se faire soi même complice de la mise à mort du système juridique protecteur de ses droits et les vôtres aussi. A moins d’être masochiste, cupide, veule, inconscient ou irresponsable, cela équivaut à se tirer une balle dans le pied. Nul ne saurait affirmer que cette loi divine a toutes les caractéristiques d une loi. N’importe quel croyant en l’absence de clergé peut s’ériger en législateur et l exécuteur selon l’interprétation qu’il peut en faire tel que décréter une Fatwa, simple avis juridique de portée civile ou pénale. Mais plus souvent pénal pour motiver la sentence capitale ou des pogroms. Le danger avec la loi canon de la Charia est qu’elle est l’objet de toutes les spéculations interprétatives et l’imprécision des règles susceptibles de l’encadrer et la formuler. Le fait qu’elle ne soit pas codifiée dans un quelconque corpus juridique ne peut que la rendre incertaine, floue, ambigüe, sujette à caution et inapplicable.

En effet, comme le souligne Souheib Bencheikh :"c’est un concept spirituel, donc synonyme d’un cheminement personnel mais qui, à travers l’histoire, couvre le travail des Ecoles juridiques, malékites au Maghreb, hanbalites, hanafites et les chafiites…., si bien que le droit musulman est varié et il n’a aucune sacralité et souffre de ne pas avoir été mis à jour." Comment peut-on aussi conférer un caractère juridique à une norme spirituelle censée fixer la voie à suivre pour les musulmans (sourate 45; verset 18) ? Assimilée comme étant la source du droit musulman qui se décline pourtant en 4 Ecoles juridiques (madhab) ne peut que susciter des doutes sur sa rationalité juridique. Tout indique que la charia n’est pas un système juridique fruit de la raison humaine et encore moins de caractère canon immuable et intemporel puisqu'elle est à géométrie variable dans le sens de son interprétation propre à chaque école. Contrairement à ce que ses partisans prétendent, on ne peut faire d’un système juridique non écrit ou codifié une vérité divine absolue ayant force de loi qui ne tolère aucune contestation ni dérogation. Les tentatives de réforme de la Charia et de sa véritable définition juridique auxquelles on assiste depuis les écoles de pensée théologique tels que Muatazalites et les Asharites, au VIIIième et IXième siècles, ne peuvent que le lever la voile sur l’impossibilité de sa reformulation et de sa clarification. Ce qui va de soi dans la mesure où ne peut rationaliser l’irrationnel. On ne peut pas non plus donner une cohérence textualisée et réglementée à l’irrationnel en lui accordant le statut d’un code juridique soi-disant d’essence divine supposé régir tous les aspects de la vie des musulmans, publique et privé ainsi que les interactions avec les croyants, ce qui suppose que les non-croyants sont exclus du champ de la charia et politique. Alors que dans notre système juridique non seulement nul n’est au-dessus des lois, mais surtout que nul n’est exclu du champ de la loi. L’absence de cohérence juridique et le flou théologique qui la caractérisent sont la cause première des abus et dérives rattachées à la charia. Elle est plus apparentée à une loi naturelle, appelée communément la loi de la jungle, où l’on se doit de laisser la nature accomplir son œuvre sans l’intervention humaine pour la réguler ou la codifier. Elle est cette loi qui lie le prédateur, dans le contexte musulman c’est l’homme, à sa proie, sa victime consentie sous couvert de la Loi sacrée du Coran qui est la femme. Et accessoirement les non-musulmans et tous ceux qui ne rentrent pas dans les normes sexuelles telle que la définit Dieu. Il est permis de qualifier la charia de loi scélérate semblable aux lois raciales nazies de 1935 où l’on cherche à instaurer un ordre social, humain politique sur la base des critères subjectifs, inégalitaires et partiaux de caractère ethnique, sexuel et religieux. Une loi où seul l’interdit devient la norme et le permis devient l’exception. Dans les sociétés appliquant la charia, la déraison humaine détermine tout le monde d’organisation sociale, familiale et interindividuelle comme si son fonctionnement échappe à la mécanique de l’intelligence et de la conscience humaine. L’homme qui est par définition un animal politique est dépourvu de pensée propre et toute son action doit s’inscrire dans la voie que groupe d’appartenance lui indique. Ce code de bonne conduite en société que peut être la charia a des effets annihilateurs et négateurs des libertés individuelles qui doivent se fondre dans le collectif et jamais s’exprimer en dehors. On dit même que la liberté n’existe pas si elle n’est pas l’oeuvre du collectif. En aucun cas la charia ne peut s inscrire dans un cadre républicain juste, ouvert et tolérant respectueux des droits individuels. Elle est antirépublicaine et anti citoyenne, elle vise à avilir à instrumentaliser le sacré à des fins d’exacerbation et d’institutionnalisation de la violence morale, inhumaine et de traitement dégradant et humiliant infligé aux femmes et aux minorités. En totale violation de l’article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen et de l’article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Une loi qui est un vrai simulacre juridique et pas seulement ne devrait pas avoir droit de cité au vu de son caractère incitatif à la torture et aux atteintes caractérisées et avérées aux droits humains. La charia qui fait de la femme une quasi-esclave, un objet dépourvu d’existence propre, dépossédée de tous ses droits les plus élémentaires au profit de son tuteur de mari devra être éradiquée de la même façon que les lois nazies. Avec elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre, autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellations, bannissement, excommunication, le délit du blasphème, l’apostasie, l’esclavagisme, les rapts, les razzias, l’inquisition, la pédophilie dans le sens des mariages pré pubères, le viol conjugal, l’homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation etc. Son caractère machiste, ségrégationniste, ostraciste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui lui permet d’ester en justice. Ainsi une femme victime d’abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une franco marocaine victime d’un viol à Dubaï et qui s’est retrouvée en prison au motif qu’elle est responsable de son propre viol ( Touria Tiouli : en prison à Dubaï pour avoir été violée éd. Michel Lafon2004). Aux termes de cette loi canonique la femme a surtout des devoirs. Ses droits sont ceux que lui fixent son mari ou le membre male de sa famille ou sa belle-famille en cas d absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est susceptible de lui infliger en cas d’insoumission et le Châtiment final (la sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet). La femme sert de variable d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes. Elle est le bouc émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l’état d’objet sexuel dont la seule fonction sociale est d’assouvir les pulsions sexuelles de son maitre auxquelles elle ne peut s’y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges (sourate de la femme). Le corps de la femme n’est-il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l’homme qu’il pourra labourer à volonté. Le mariage n’est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune pérenne comme dans notre droit positif. La charia qui fait de la polygamie son mode d’expression majeure et donc de la femme un bien marchand de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit de veto, l’immunisant contre toutes tentatives velléitaires de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant mais combien redoutable : le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure et en l’absence de motif valable et sérieux. A supposer qu’il y en ait mais il est laissé à l’entière appréciation de l’homme, seul procureur, juge et partie dans le cas d espèce sans que les droits de la défense soient reconnus du fait qu’il détient aux termes de la charia un droit de prééminence sur la femme, son obligée inconditionnelle, est souverain, il jouit d’un pouvoir totalitaire qui contraste avec l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme qui n’est pas en droit d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde d’enfants en cas de séparation.

De même que la charia fait interdiction absolue à un homme marié à une épouse non musulmane d’élever ses enfants dans une autre religion que la sienne. L’enfant est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère. En conclusion, cette loi canon n’est autre qu’un système idéologique dont la finalité est de coloniser le corps et l’esprit des femmes sous couvert du sacré. La charia qui est donc par définition la loi du respect du chemin qui mène à dieu, celui de la félicité dans l’au-delà, indépendamment de sa nature inepte et inique ou' l’arbitraire et les excès de pouvoirs sont les seuls normes, est dans son interprétation et son application la loi qui balise le chemin des privations des libertés les plus élémentaires aux femmes et aux minorités sexuelles et non musulmanes. Il ne peut y avoir d’Etat de droit en l’absence d’égalité de traitement de droits et de devoirs entre les individus indépendamment de leurs origines, leurs conditions sociales (la charia prohibe toute forme de contestation sociale), leurs sexes, leurs croyances. Un Etat de droit intègre ces citoyens et les protège, or un Etat fondé sur la répression et l’oppression de ses membres et particulièrement de ses membres féminins sous couvert du sacré est un Etat qui répondrait plus aux critères du IIIème Reich. Au nom de la charia on mutile et on ampute la société humaine de la moitié de son corps, ce qui la rend-elle même estropiée et atrophiée intellectuellement et socialement. A croire que son seul contenu, à supposer qu’elle en ait, vise à maintenir la femme dans l’ombre de la société, à la marginaliser et l’humilier. La charia à défaut d’être un ordre moral, elle est plutôt un ordre immoral et injuste qui ne laisse à la femme aucune initiative, ni la faculté d’avoir un quelconque choix. Tel que choisir son conjoint ou tout au moins refuser le conjoint imposé par la famille, conduire une voiture, voyager, travailler, étudier, y compris se faire délivrer une carte d’identité. De même que le droit de vote est illicite pour les femmes comme la liberté d’ association. La charia est un univers impitoyable surtout pour la femme qui ne fixe aucune limite à l’âge légal au mariage dès la pré puberté comme en Afghanistan ou au Yémen. A croire que la charia est faite par les hommes aux dépens des droits de la femme en légitimant une espèce de rapport de sacralisation de l’homme et culpabilisation de la femme. Tout laisse apparaitre à la lumière de la charia qu’elle comme étant l’ennemie perpétuelle à abattre, à lapider et à châtier au regard de la malédiction éternelle qui la frappe, associée à la malignité et dont la charia en est une fidèle exécutante. Elle ne fait que traduire dans la réalité ce que Dieu aurait recommandé. La charia est un permis de tuer les incroyants et surtout les athées dont la mort est rendue licite au nom de la religion et qui peut être exécutée par n’importe quel musulman. Le même sort est réservé aux homosexuels et aux femmes adultères. Pour ce qui est des droits privés de la femme de même que les étrangers ou les incroyants, il s’agit surtout d’obligations privées. Le champ d’exercice du droit est très restreint pour pouvoir être souligné. On discrimine à titre d’exemple la voix de la femme compte pour la moitié de celle d’un homme dans le cadre d’un témoignage, on relègue, on méprise, on lèse comme dans les droits de succession absolument minimalistes pour la femme, et on ostracise au nom de la religion telle que le fixe et le précise la charia qui couvre tous les domaines de la vie publique, sociale et politique des musulmans. Elle guide les pas des fidèles sur le sentier d’Allah. Elle contrôle leurs vies dans le moindre petit détail. Elle se veut le moule juridique dans lequel doivent se fondre les musulmans du monde entier. Ainsi ni les femmes ni les incroyants ne peuvent jouir d’un statut de plein droit dans un Etat islamique. La charia est une entreprise de démolition du droit positif et du droit humain. Elle est antinomique avec les systèmes juridiques contemporains du fait de son intemporalité qui n’est autre que sa régression et son in égalitarisme et les injustices qui en découlent érigé en dogme. L’égalité des droits et des devoirs entre les citoyens fondements de notre droit républicain est une notion étrangère à la charia. Voire qu’elle la perçoit comme une apostasie. Elle peut jusqu’ à conférer une espèce d’immunité juridique au musulman contre la justice des tribunaux qui n’appliquent pas la charia telles que les nôtres. L’ordre juridique est un droit naturel J dans le sens ou c’est Dieu qui légifère et édicte ses lois dont on ne peut discuter de leur constitutionnalité puisqu’elles émanent des textes sacrés alors qu’elles s’apparenteraient plus au droit coutumier susceptible de varier d’un pays à l’autre. Avec elles c’est la loi de la jungle et le règne de l’autoritarisme et de la barbarie humaine. Opprime, on punit, on humilie, on inflige des brimades, on persécute, on légitime le viol conjugal, on réprime et on exécute au nom d’Allah. Comment cette loi canonique qui est par définition le respect strict du chemin à suivre et censée par conséquent régir et codifier tous les aspect de la vie des croyants dans toutes ses arcanes à dérive vers un système à la juridicité aléatoire et inepte et surtout un mode de gouvernement si ce n’est la colonisation de la femme par l’homme au nom de dieu ? Lequel semble avoir trouvé avec cette loi canonique une aubaine divine en surfant sur les sentiments de la culpabilisation de la femme pour pouvoir se la soumettre et le rendre docilité et sa servile. Comme si elle était une bête sauvage à apprivoiser ou une rivale à neutraliser en alléguant d’artifices religieux des plus douteux et abracadabrants Dans son aspect pratique la charia est un crime contre les droits de la femme et donc l’humanité. En définitive elle est la négation de la volonté de l’être humain au profit de la volonté de dieu. Elle est incompatible avec la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen. Et pour cause les états musulmans n’adhèrent à la dite convention pour incompatibilité juridique avec le droit musulman qui ne reconnait pas par ailleurs la notion de citoyenneté. Pour les partisans de la charia, l’Etat musulman de nature théocratique doit puiser ses sources de droit dans le code canon ce qui interdit l’élaboration de nouvelles lois par les assemblées élues par les hommes. Dans les états islamistes il n’existe pas d’équivalent à nos assemblées nationales. Elles sont juste des organes consultatifs appelés « Majless Echoura ».

En conclusion, la loi prétendument divine de la Charia qui place les hommes sous la protection tutélaire de Dieu, n’est pas le chemin énoncé par le Coran qui mène à Dieu, il est le chemin qui mène à la barbarie juridique, aux lois de la jungle, dont le but ultime est d’instaurer un ordre juridique tendant à faire de la femme un sujet mineur incapable de discernement juridique qui nécessite par conséquent la protection tutélaire de l’homme. Outre le fait qu’elle est un autre instrument légitimant au nom du sacré les injustices et les discriminations qui frappent les minorités sexuelles, ethniques et religieuses dans les pays islamisés. La Charia n’est pas sans rappeler les lois raciales nazies ou les mécanismes dogmatiques de régulation du système de castes hindoues qui classent les humains en purs et impurs. L’humanité qui a banni en son sein le nazisme, elle se doit de bannir plus que jamais les régimes théocratiques fondés sur la Charia. Il y va de sa propre pérennité aujourd’hui.

Wafa Sultan: Islam - A God Who Hates

Nous sommes tous responsables ...


Rappel : début de mon article ici : http://elisseievna.blogspot.fr/2010/01/nous-sommes-tous-responsables.html
Cet article était illustré d'une deux-deuche, pour rappeler que nous sommes tous ... complices des fanatiques de l'islam puisque nous savons tous pertinemment à chaque fois que nous faisons le plein que nous les finançons ... et pour rappeler que une fois que l'on a dit ça, on n'a pas fait avancer le débat d'un centimêtres : chercher les coupables ne sert à rien.

Ce qui unit les complotistes et tous les antisémites, est la recherche de "coupables", de "grands manipulateurs", c'est cette mentalité qui veut haïr qui fait se rejoindre une certaine extrême droite et les musulmans militants : par exemple ici :
http://tatamis.blogspot.com/2010/01/pierre-hillard-choisi-le-camp-de-lislam.html
C'est la même mentalité mesquine et mauvaise, qui veut trouver des "islamistes" à faire haïr là où il y a avant tout des textes à critiquer, comme l'explique Anne-Marie Delcambre.

A l'opposé, ceux qui cherchent du côté de l'examen de leurs propres consciences et des solutions à proposer, qui comme dit le Père Samuel avec Cocteau je crois "ne haïssent que la haine", savent que nous sommes tous responsables de toute façon et ne cherchent ni bouc émissaire ni ennemis, mais des solutions :
http://elisseievna.blogspot.com/2007/07/livre-le-plein-sil-vous-plait.html
http://elisseievna.blogspot.com/2009/02/conference-de-jean-marc-jancovici.html


http://elisseievna.blogspot.com/2010/01/lavenir-de-leurope.html
" .... Il n’y a ici nul complot à rechercher : l’existence de ce rapport de force est seulement l’effet conjugué de la réalité scientifique et géologique d’une part, et de l’apathie politique des masses d’autre part. Voilà pourquoi nous sommes tous responsables si nous n’agissons pas."

Rappelons les raisons données à l'islamophilie par Anne Marie Delcambre (voir le site de Libertyvox) :

ISLAMOPHILIE ET CULPABILITE  (suite sur mon blog tome 1)

L'islam est la solution .. finale

http://www.juif.org/defense-israel/171385,freres-musulmans-nous-devons-nous-concentrer-sur-les-palestiniens.php 22 Avril 2012 - Juif.org
Mohamed Mursi, le nouveau candidat présidentiel des Frères Musulmans, a officiellement lancé sa campagne samedi, sous la bannière : "l'Islam est la solution".  ... finale
tu l'as dit bouffi ...

Saint François d'Assises et les bêtes




Prière de St François d'Assise

Seigneur,
Faites de moi un instrument de votre paix. 

Là où est la haine, que je mette l'amour. 
Là où est l'offense, que je mette le pardon. 
Là où est la discorde, que je mette l'union. 
Là où est l'erreur, que je mette la vérité. 
Là où est le doute, que je mette la foi. 
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance. 
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. 
Là où est la tristesse, que je mette la joie. 

Faites que je ne cherche pas tant à être consolé que de consoler, 
D'être compris que de comprendre. 
D'être aimé que d'aimer. 

Parce que 
C'est en donnant que l'on reçoit, 
C'est en s'oubliant soi-même qu'on se retrouve 
C'est en pardonnant qu'on obtient le pardon. 
C'est en mourant que l'on ressuscite à l'éternelle vie. 

Saint François





Cantique des créatures



.... Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures,
Loué sois-tu, mon Seigneur, par sœur notre mère Terre,
laquelle nous soutient et nous gouverne,



et produit divers fruits avec les fleurs colorées et l’herbe.....

Loi islamique en Europe : chiens interdits

Témoignage : jour de marché, dans le nord de la France. Les propriétaires d'un barzoï se promènent. Une femme voilée demande ... qu'ils éloignent le chien, en criant " j'ai peur !" ... Peur d'un barzoï ??? ces lévriers tous fins, doux et zen ...!


Il s'agit d'un acte de harcèlement des français chrétiens pour les obliger à appliquer la loi islamique.

Le Messager d'Allah (saw) a dit :"Celui qui garde chez lui un chien voit chaque jour le salaire de ses bonnes actions diminuer d'une mesure sauf un chien de chasse ou pour garder les troupeaux et les champs" (rapporté par Moslim) -

 Le Prophète (saw) a également dit :"Les anges n'entrent pas dans une maison où se trouve un chien ou une image" (hadith authentique)... voir récit de Jibril (as)

Selon abou hurayra, le Prophète a dit : "Quiconque possède un chien, autre qu'un chien de bétail, de chasse ou de champs, se voit diminuer sa récompense chaque jour de la valeur d'un qirât". Rapporté par Mouslim (1574).


Les islamistes n'aiment pas les chiens! Ils souhaitent les éliminer de la vie quotidienne des européens et des français en particulier!
Les amoureux des bêtes doivent prendre au sérieux cette volonté de nuire aux chiens qui font partie de nos us et coutumes! Le chien mord et il  peut parfois être méchant! Ce n'est pas une peluche, mais bien souvent, c'est à la suite d'une situation particulière.
Les chiens ne sont pas un danger pour l'homme ! Il ne sont pas "impurs"comme le disent les islamistes. S'il y a un animal dangereux sur cette planète, ce n'est pas le chien mais un autre mamifère de type bipède, qui en ce moment dépose des bombes, se fait sauter, envoi des enfants de sa meute se faire tuer!
Alors donc, ils exigent désormais d'interdire les chiens? Pourquoi pas venir jusque dans nos maisons pour égorger, empoisonner nos chiens dans nos campagnes! Je vais finir par mordre...
Gérard Brazon
© Flickr.com/warmrobot/сс-by-nc-sa 3.0

Les islamistes tentent d’expulser les chiens de l'Europe. Récemment, un représentant du Conseil municipal de La Haye, membre du parti « Démocrates Islamistes »  Hasan Koutchouk  s'est  prononcé en faveur de l'interdiction de ces animaux  dans la ville, et il a appelé les pouvoirs municipaux à reconnaitre que la possession d’un chien dans la mégalopole était un crime de droit commun.
On sait  depuis  longtemps  que dans l'Islam, le chien est considéré comme un animal "sale". Une des légendes musulmanes annonce que ce quadrupède aurait  mordu une fois le prophète Mohammed,  c’est pourquoi tous les chiens  étaient maudits.  Les sceptiques affirment que les musulmans avaient  emprunté  aux Juifs l'aversion pour ces animaux.  En effet, dans l'ancien testament, parmi les  trente mentions du chien, seulement dans deux cas  elle n'a pas de sens négatif. L'hostilité des anciens Juifs  vis-à-vis  des chiens était suscitée par la haine envers  les Egyptiens et les Romains qui, respectaient, eux, les chiens et qui les déifiaient.
L'Islam n'a rien contre les chiens, cependant, il  prescrit  des règles sévères de leur présence aux côtés de l’homme, a expliqué dans l'interview  à  « la Voix de la Russie »  l'imam de la mosquée synodique de Moscou Islam-hazrat Zaripov.
Du point de vue de l'Islam, on peut  avoir des chiens. Cependant, il faut respecter certaines conditions. Le chien ne doit pas se trouver dans un même local avec les gens. La salive et les poils du chien ne doivent pas se retrouver sur les vêtements et le corps de l’homme, ainsi que sur les objets d'usage courant. Il faut bien comprendre que l'Islam n’a pas d’attitude négative envers les chiens. Par exemple, dans certains Hadiths, on raconte l’histoire d’une femme qui nourrissait un chien. Pour cela,  elle était admise au paradis. Il est important que l'on respecte  strictement les conditions de l’entretien  du chien.
La proposition du politique-islamiste hollandais pourrait provoquer seulement  un sourire, si  c’était  un cas unique  quand les musulmans européens se prononcent durement contre les chiens. 
Au milieu de l’année 2011, dans la ville de Lerida dans le nord-est de l'Espagne, les musulmans qui constituent environ 20 pour-cent de la population, ont demandé aux autorités locales d'interdire le séjour de ces quadrupèdes dans les transports en commun. Quand la municipalité a refusé d'accomplir les exigences des musulmans, la ville a connu une vague d’empoisonnements des chiens.
En Grande-Bretagne, les voyageurs aveugles avec les chiens-guides sont de plus en plus souvent obligés de sortir des autobus, parce que les conducteurs musulmans ou les voyageurs objectent contre leurs compagnons «sales». Les cas semblables de l'intolérance religieuse sont observés en France, en Ecosse, aux Pays-Bas et dans d'autres pays européens.
L'hostilité aussi sincère envers  les quadrupèdes et les nombreuses exigences agressives des musulmans européens de nettoyer les villes des chiens suggère aux Européens l’idée que les islamistes préconisent non la pureté de leur propre foi, mais tentent plutôt d'imposer aux pays de l’UE les normes de la charia - l'ensemble des règles juridiques, morales et religieuses de l'Islam.
D'autant plus que parmi les chrétiens, l’attitude envers ces amis quadrupèdes de l’homme  était de tout temps bienveillante. Dans l'orthodoxie,  il n'y a aucune interdiction au sujet des chiens, bien qu'il ne soit pas recommandé d’entrer dans les églises avec eux, explique le représentant du patriarcat de Moscou, le prêtre Vladimir Vigilyansky.
Dans les anciens recueils de prescriptions religieuses, il est dit que les chiens ne doivent pas entrer dans l’église. Il y a des prières pour les consécrations des églises, si par hasard des chiens, des porcs ou des serpents y entraient soudain.  On croit que ces animaux peuvent profaner le lieu sacré. Cependant, il n’existe aucun canon qui interdise d’avoir un chien dans la maison.
Dans les pays catholiques, depuis 1931, on marque le Jour des animaux  le 4 octobre. Cette fête est liée au nom de Saint François  d’Assises  - le protecteur des quadrupèdes. Ce jour-là, dans toutes les églises catholiques, se fait  un office spécialisé pour les animaux domestiques, et les paroissiens peuvent même amener dans l'église leurs chouchous  - des chats, des lapins, des perroquets et, bien sûr, des chiens.
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